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Christophe Massé Informations
13 avril 2009

Estelle Séré & Carine Tarin au menu de la Salle à Manger

fly_20verni_20web Il y a pour moi un siècle maintenant, fin 2006 je demandais à Carine Tarin & Estelle Séré d'inaugurer le programme d'expositions que je devais réaliser chez le trésor de région Isidore Krapo. Depuis, j'ai sous les yeux chez moi en compagnie de quelques-unes des oeuvres d'artistes que j'aime, le magnifique petit tableau offert par Estelle et un des Mangas de la célèbre série de Carine. Ce genre de choses qui me donnent le moral les jours de chiens. Depuis de l'eau est passée sous le Pont de Pierre et je partage l'atelier de la rue Bouquière avec Carine... et donc  je ne suis plus peut-être très objectif quand à sa belle production artistique. Je sais cependant que son travail de finesse et de rigueur va atteindre d'ici peu la plénitude.. Depuis.. le beau et tendre sourire d'Estelle a disparu, je dois dire qu'il me manque même si j'ai de temps en temps celui de son compagnon en échange.. Le travail est là.. une nouvelle série d'oeuvres que je ne peux que vous recommander d'aller découvrir en consultant le menu de cette salle à manger des Chartrons et d'aller vous plonger dans un bain de saveurs colorées. La délicatesse des blancs d'une gamme de céramique originale et l'effervescence du grand monde peint.. de deux jeunes créatrices.

La Salle à Manger: 18 rue Saint-Joseph (Chartrons) 33300 Bordeaux.. vernissage le 15 avril.

A noter également aussi, que Pierre Duhard, l'opticien qui à l'oeil dans l'art présente dans la suite de son programme d'expositions (Brouillon, Krapo, Cerf, votre serviteur et j'en passe) dans la vitrine d'Histoire d'y Voir rue du Pas Saint Georges (Centre-Ville) les dernières créations de Carine Tarin..

Vive l'art.   

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Commentaires
D
Accoutume-toi à penser que pour nous la mort n’est rien, puisque tout bien et tout mal résident dans la sensation, et que la mort est l’éradication de nos sensations. Dès lors, la juste prise de conscience que la mort ne nous est rien autorise à jouir du caractère mortel de la vie : non pas en lui conférant une durée infinie, mais en l’amputant du désir d’immortalité. <br /> Il s’ensuit qu’il n’y a rien d’effrayant dans le fait de vivre, pour qui est authentiquement conscient qu’il n’existe rien d’effrayant non plus dans le fait de ne pas vivre. Stupide est donc celui qui dit avoir peur de la mort non parce qu’il souffrira en mourant, mais parce qu’il souffre à l’idée qu’elle approche. Ce dont l’existence ne gêne point, c’est vraiment pour rien qu’on souffre de l’attendre ! Le plus effrayant des maux, la mort ne nous est rien, disais-je : quand nous sommes, la mort n’est pas là, et quand la mort est là, c’est nous qui ne sommes plus ! Elle ne concerne donc ni les vivants ni les trépassés, étant donné que pour les uns, elle n’est point, et que les autres ne sont plus. Beaucoup de gens pourtant fuient la mort, soit en tant que plus grands des malheurs, soit en tant que point final des choses de la vie. <br /> héd 0 vie à 50°.
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